VC Froges Villard-Bonnot

  Résultats  Et voilà déjà venu le temps du CLM de La Chapelle Blanche ! Sa particularité ne réside ni dans sa longueur (9,4 km) ni même dans son dénivelé total (+250 m) mais dans son profil, 50% parfaitement plats suivi de 50% parfaitement montants à près de 5,5% de moyenne. Il faut donc gérer les qualités généralement contradictoires d’aérodynamisme et de légèreté. Et dans tous les cas être en forme ! Si possible même davantage que l’an passé où j’avais réussi à descendre largement en-dessus des 20 minutes. C’est dans cet état d’esprit que je m’aligne sur le départ avec mon CLM noir maquillé « Specialized » avec à défaut de faire « une place » – étant dans les montées plus « fer à repasser » que « fusée à dépasser » – l’intention de battre mon record personnel, à matériel strictement identique …

« Départ 1 minute ». Jusqu’à présent tout s’est passé comme prévu, préparation, échauffement et (moi qui suis parfois fâché avec la montre) je me félicite de ce bon timing. « Clac clac », tenu à la barrière, les deux pieds chaussés. Mais « bip-bip » et voilà que ce foutu compteur Garmin soigneusement réglé et installé dans une pochette sur le prolongateur se met en veille et s’éteint ! Normal je l’avais désactivé après l’échauffement. Je bricole nerveusement, déchausse même un pied pour mieux tenter de le redémarrer à travers la pochette. « 30 secondes », il commence à s’allumer, mais il lui faut booter, trouver le signal GPS etc… « 10 secondes », je rechausse, tant pis je ne pourrais lancer l’enregistrement. Et ne verrai pas la cadence de pédalage cachée dans un autre menu … « 2, 1, Top ! » contrarié j’envoie les Watts et tente de rester concentré malgré tout.

« Bon cela ne t’empêche pas de faire un chrono », je me rassure ainsi tout le long du parcours plat … Déjà le rond-point des Molettes et la montée vers La Chapelle où je dois me contenter de prendre mon mal en patience. Quelle chaleur les amis ! Je bouillonne littéralement sous le casque de chrono. Après un petit replat une courte partie plus raide, à l’ombre. Je dois résister à la tentation de lever le pied pour y rester le plus longtemps que possible ! La vue d’un concurrent que je rattrape me redonne de la motivation. Puis un autre, encore plus loin. Sympathiques encouragements de Sandrine Aubert qui me double en voiture. Ça c’est son grimpeur de fils Alexandre, parti 2 minutes après qui ne va pas tarder à me passer. Bingo, sur le deuxième faux plat avant la partie finale une fusée GMC38 jaune et bleue me dépose ! Je lâche tout ce qu’il reste jusqu’à la courte rampe à 10% finale, debout sur les pédales, résiste tant bien que mal en anaérobie pour terminer complet hors de souffle.

Verdict ? Chrono de 19:32 parfaitement identique à celui de 2015, 3ième / 18 en FSGT4 – Ufolep3 derrière deux extra-terrestres « débutants » en 17:42 (qui auraient largement trustés les deux 1ières places même en FGST3). Ce qui me vaut tout de même une bouteille de vin blanc de Savoie du pays. Pas si mal ! Alexandre signe en 16:55 une belle 6ième position au scratch.

Alors plus en forme ou pas ? Le chrono est identique, mais la plupart des concurrents déjà présents en 2015 ont fait moins bien, donc conditions moins favorables et donc réponse positive ? Pas si simple ! Pour en savoir plus il va falloir d’abord ouvrir ma bouteille car comme dit dans le titre … traduction locale : « un petit Savoie pour tout savoir ! »  Tchin-tchin, Stéph S

 Photos  Résultats  C’était notre première participation sur cette course à étape, notre club avait 3 grimpeurs sur cette épreuve qui se déroulait sur 4 étapes en 3 jours, Jérôme Giraud, Jonathan Bartet et Alexandre Auber.

Samedi 14 mai première étape :
Plan du Var > Lantosque > Isola, 90 Km
Le départ est donné à 14 h à 116 coureurs, les coureurs s’engagent dans les rampes qui serpentent dans le sublime défilé de la montée sur Lantosque mais la pluie commence à tomber après 20 mn de course, Aie ! Nous voyons Alexandre qui est arrêté suite à un problème mécanique nous nous stationnons et cela repart, quelques minutes plus tard ce n’est plus de la pluie qui tombe, mais des trombes d’eau qui s’abattent, la route est quasiment transformée en ruisseau, c’est maintenant des conditions dantesques ; nous apercevons enfin le groupe de tête mais Aie ! à nouveau cette fois c’est Jérôme qui est arrêté sur crevaison et qui nous attend Gaby lui donne une roue est c’est reparti le peloton n’est pas trop loin mais Jérôme va quand même concéder 2minutes et 33 secondes Jonathan va terminer à 4 minutes et Alexandre à 20 minutes. Conclusion de cette première étape : beaucoup de malchance mais nous restons optimiste en nous projetant sur les 3 étapes qui restent car nous restons dans la course et nous savons qu’elle n’est pas finie, 17 abandons rien que sur cette étape.

Dimanche matin 15 mai 2^ième étape :
Plan du Var vallée de la Tinée > Col de la Couillole arrivée à Beuil étape de 60 km.
Etape assez courte, mais hum !!! attention c’est pour les vrais grimpeurs ! Le départ est donné à 8h30 sous un beau soleil cette fois, et le moral revient, l’allure dans la vallée de la Tinée est rapide et ensuite Boum ! C’est le terrible col avec ses 16 km et de bon pourcentage sur route étroite pas très bonne, un col pour pur grimpeur, nos trois coureurs sont impériaux, Jérôme retrouve son coup de pédale ravageur, Jonathan est étonnant et impressionnant et Alexandre qui retrouve la confiance se bat comme un lion. Dans ce col pour pur grimpeur nos coureurs font merveille, Jérôme est avec les meilleurs et fera 6^ième de l’étape, Jonathan n’est pas très loin et Alexandre non plus.
C’est une super matinée pour nous puisque Jérôme a fait une belle remontée au classement général car il est classé 6^ième, Jonathan 25^ième et Alexandre 49^ième mais il a fait une fantastique remontée et du coup aussi une remontée du moral qui va le motiver pour son exercice de prédilection qui est le chrono individuel de l’après-midi qui arrive.

3^ième étape l’après-midi :
C’est Alexandre qui part le premier de notre club pour les 8 km de ce chrono en faux plat montant avec une rupture de pente et des passages bien pentus.
Alexandre est toujours bien posé sur son vélo, sa cadence de pédalage est excellente et cela file plutôt bien il réalise un bon chrono de 15‘ 58 ‘’ et il est très content.
Ensuite c’est Jonathan qui fait le premier chrono de sa vie, il est également impressionnant pour un néophyte et va quand même arriver en haut en 16’42’’.
Jérôme part donc le 3^ième, il est en forme et cela file également, les pourcentages sont passés en puissance, et malgré un saut de chaîne il réalise un excellent chrono de 15’52’’.
Une très bonne journée pour nos coureurs

Le lundi 16 mai c’est l’étape la plus difficile, 2400m de dénivelé, 100 km avec 1 col et une arrivée au sommet dans la station de ski d’Auron.
Sur cette étape Jonathan avait décidé de la faire sans trop forcer et il laisse filer le groupe de tête pas très loin du sommet du col, par contre Jérôme et le jeune Alexandre qui avait retrouvé ses bonnes jambes normales bascule dans le groupe de tête composé de 10 coureurs ou figurent le maillot jaune, le maillot à pois et le champion de France FSGT. Ensuite c’est parti pour une superbe et très rapide descente de 14 km. Alexandre va perdre le contact des meilleurs descendeurs mais il descend quand même très vite et arrive dans la portion plate avec seulement 20 secondes de retard, il a des jambes de feu et au prix d’un bel effort il réussit à réintégrer le groupe de tête. Il ne se contente pas de cela car comme de toutes façons il n’a rien à perdre vu sa place au général il est déchaîné et part avec un autre coureur en disputant un Rush. Ensuite arrive la montée sur Auron, une splendide grimpée de 6 km sur une belle route mais avec de beaux lacets.
Les coureurs de ce groupe sont tous très forts car ce sont les 10 premiers du classement général, le maillot jaune, un jeune espoir Niçois de 19 ans place une attaque Jérôme est toujours très fort, il contrôle, concède quelques longueurs mais il résiste bien, c’est la grande bagarre, l’explication finale !  Le groupe est disloqué et Alexandre qui avait été rattrapé se bat toujours, il est distancé du groupe mais n’est pas très loin.
A l’arrivée de cette superbe étape Jérôme prendra une 7^ième place, Alexandre une superbe 13^ième et Jonathan tout en ne forçant « pas trop » sera 34^ième. Au classement général final du Tour Jérôme sera 6éme, Jonathan 25^ième et Alexandre 35^ième

Au final, sur cette course à étapes nous avons vécu des moments exaltants et formidables avec paysages sublimes et résultats sportifs excellents car nos trois coureurs ont démontrés qu’ils avaient le niveau pour pouvoir être avec les tous meilleurs. Ils étaient tous en forme Jérôme toujours égal à lui-même et récompensé plusieurs fois en étant premier de sa catégorie, Jonathan ce jeune espoir prometteur du vélo pour qui c’était sa première course a été épatant et Alexandre du haut de ces 18 ans l’a été également.

Je dis un très grand BRAVO à eux trois, ils ont très brillamment portés les couleurs de notre club dans le sud et merci à Gaby, qui pour la circonstance s’était transformé en masseur kiné. Pour ma part j’ai passé un merveilleux weekend sportif où nous avons démontré que la décontraction, la bonne humeur, le plaisir n’étaient pas incompatibles avec le sérieux et la performance.

La cerise sur le gâteau a été le retour à Grenoble par le plus haut col de France, le col de la Bonnette et c’était absolument splendide.      Michel MOTTIER

 Photos  Résultats  Pour ce jour de l’Ascension quoi de plus normal que de prévoir de belles grimpées !!!!!  D’autant plus que la météo était annoncée très bonne, c’est par une température quand même un peu frisquette que dès le chant du coq 6 coureurs de notre club se dirigent à la tour de Salvagny où est donné le départ de la cyclosportive des 3 cols. Jérôme Giraud, Jonathan Bartet, Stéphane Spohr, Gabriel Bouchet, David Etcheverry et Jean Jacques Bar, tous en pleine forme pour prendre le départ des 99 km de cette épreuve.

Après 2h47 minutes de course seulement 2 hommes franchissent la ligne d’arrivée suivis à quelques secondes par un groupe de 8 coureurs où figure Jérôme qui va prendre une belle 10^ème place et faire également un podium en se classant 2^ème dans sa catégorie d’âge, en sachant que les 10 premiers coureurs sont tous dans la même minute. Jonathan termine le parcours en 2h57 pour prendre une 40^ème place. Jean Jacques en 2h59 avec une 49^ème place. David termine en 3h10 avec une 114^ème place. Gaby termine en 3h15 avec une 161^ème place. Stéphane termine en 3h16 avec une 164^ème place en finissant dans la souffrance car il avait perdu 1 bidon et du coup il a été contraint de boire à l’économie et terminer avec des crampes très douloureuses.

Je dis un grand bravo à tous nos cyclistes qui étaient tous ravis de leurs performances et ils le pouvaient car ils terminent tous la course avec des places très honorables en sachant qu’il y a eu 470 coureurs de classés. Et après l’effort le réconfort car la matinée c’est soldée autour du repas offert par l’organisateur dans la bonne humeur et la convivialité. Michel MOTTIER

Les Monts du Lyonnais, toujours aussi beaux que casse-pattes ! Tout y est réuni pour de belles parties de manivelles … Steph S

Photos Michel – Photos TVS & Résultats  Ah !! Cette grimpée des 3 communes !!!! Il faudrait plutôt l’appeler la grimpée « Frisquette » car fidèle à elle-même cette année encore la météo flirtait avec le zéro à l’arrivée au Sappey, mais néanmoins 4 grimpeurs de notre club étaient au départ, Jérôme Giraud, Jonathan Bartet, Yohan Charbonnel et l’inoxydable Christophe Iohner. Pour cette édition organisée sous l’égide de la FFC il y avait un beau peloton de 93 coureurs au départ et un niveau de coureurs bien relevé.

Jérôme Giraud fait un bon temps, il sera plutôt satisfait de sa course en prenant une 13éme place au général mais aussi une victoire dans sa catégorie d’âge.

Pour notre nouvelle recrue Jonathan Bartet c’était sa première course et Jonathan pouvait être ravi car il fait aussi un bon chrono et prendra la 18éme place au général mais également aussi une troisième place sur le podium dans sa catégorie Espoir, pour sa première course c’est une belle performance.

Pour Yohan Charbonnel bien que n’étant pas suffisamment préparé il a eu le mérite de prendre le départ, il s’est bien bagarré et a réalisé un chrono tout à fait honorable.

Notre Christophe c’était fixé un objectif (c’était d’arriver avant la 1^ère féminine oups oups !!!!!) et il était ravi car il a obtenu ce qu’il espérait, ce n’était pas forcément une mince affaire car il connaissait très bien cette talentueuse grimpeuse et du coup il réalise un bon chrono également.

Il faut noter que sur cette édition le record de l’épreuve a été pulvérisé par le jeune Geoffrey Bouchard du club de Roanne. Je dis un grand Bravo à ces quatre grimpeurs qui ont porté haut les couleurs de notre club. Michel MOTTIER

Résultats (49 – 1iers)    Résultats complets
> Play. Notre Dame des Millières, samedi 2 avril 2016, 15h45 et quelques .. Juste après la dernière bosse, panneau « arrivée 300m », je ne tiens plus ma nuque, les jambes explosent. Encore un petit effort. 150m de descente. Freiner à temps pour l’intersection à angle droit. Gaffe les gravillons. Puis 150m en montée vers l’arrivée. Surtout, le bon braquet ! Une fois en danseuse, avec le guidon de chrono plus possible de changer. Bon, trop dur, faut faire avec. J’écrase les pédales. Bon sang, une bagnole en travers de la route. Elle bloque le passage. On lui fait signe d’avancer. Je passe à sa droite. Pas de marche arrière hein ! Ouf ça passe, encore 50m de souffrance, encouragements, ligne blanche franchie, enfin je peux relâcher. Arrêter le Garmin. 14 min et quelques, à priori pas trop mal. Continuer à rouler jusqu’à ce que le cœur se calme. Coup d’oeil sur la feuille des chronométreurs 14’12, ça a l’air honnête par rapport aux autres temps notés. Cela suffira-t-il pour un podium « en 4 » ? Retour à Aiton en CLM pour récupérer la 308 « maxi groupe N » (pour les amateurs de rallyes auto) et revenir en auto sur ND des Millières où se font les remises de prix. Vous suivez ?

<< Rewind, tchouc tchouc tchouc, Aiton, 15h32, Stop, > Play : «3, 2, 1 Go ! ». Je m’arrache de la rambarde, me mets en aéro, à 120 tours/min passe le grand plateau, puis descends les rapports, me stabilise autour de 100 tours/min. C’est parti pour les cinq premiers km de plat en quasi ligne droite à 44-45 km/h. Bien rester concentré et blotti en aéro. Wouf, j’enrhume un groupe de cyclos avec au moins 15 bornes de mieux. La première bosse « du Villard » se passe bien, Wouf de nouveau des cyclos, puis la deuxième bosse « du rond-point » un poil plus sévère, mais juste après c’est surtout les ralentisseurs de Ste-Hélène que je crains. Bing bang ouïe !!! Virage à droite et ça continue de monter jusqu’au milieu du village, j’appuye comme un sourd pour garder le braquet. Dur, dur ! La descente enfin avec un grand gauche qui passe à fond. 53*12, 60km/h, au niveau d’un carrefour je fonce sur un Citroën C15 qui n’avance pas : m…., y tourne à gauche ou pas ? En pleine vitesse obliger de me relever pour anticiper sa manœuvre ! Finalement il file tout droit, je le double avec de précieuses secondes perdues … Arrive la dernière bosse ça redevient très dur, il est environ 15h45 et vous connaissez la suite !

>> Forward, tchouc tchouc tchouc, ND des Millières, salle des fêtes, 17h45, Stop, > Play. Remise des prix. « En FSGT4, meilleur temps … » Suit un nom qui ressemble bien au mien, donc confirmation de ce que j’avais cru entrevoir sur la feuille de classement provisoire ! YES !!! Avec de la chance car le 2ième n’est qu’à deux petites secondes. 32/123, au scratch je n’ai pas à rougir non plus.
Et me voilà donc flanqué de ma 1ière coupe de vainqueur FSGT ! 

Merci à Georges Saillard UC Pontcharra pour l’accrochage professionnel du dossard et la photo du « podium » …  A bientôt , Stéphane S.
Au fait on se remet un coup la bande ? Moi je l’aime bien celle là …

Résultats  Je me suis donc aligné au départ de la Corima (jollywear 110 KM) avec un dossard dans le 2 éme SAS après les VIP.  Le départ étant neutralisé jusqu’à la sortie de Montelimar, ce fut la guerre pour rester aux avant poste et je me suis fait doubler par de nombreux coureurs pour me retrouver à la 200 ème place environ. Cela a été compliqué jusqu’a la première petite difficulté, le Col d’Allan ou j’ai du me frayer un passage pour grappiller quelques places. Ce n’est qu’a partir du col du Colombier que j’ai pu un peu « refaire le retard » pour me retrouver dans les 50 avec un groupe d’une trentaine de coureurs. Nous avons fait la course ensemble jusqu’à l’arrivé avec des passages de relais très laborieux il faut bien le dire. 

Malheureusement à 4 km de l’arrivée et au passage d’un pont ou la voie était bien moins large j’étais bien trop à l’arrière de ce peloton et une voiture m’a gênée, j’ai donc perdu 50 mètres puis 100 puis 500 mètres… C’est regrettable car le premier de ce groupe fini 26 ème scratch en 3h04’10……et moi en 69 ème position (sur 800 et 17 de catégorie sur 246) en 3h05’39 soit 43 places pour 1’29 seulement. un peu déçu donc mais j’ai appris que le positionnement dans le peloton était primordial !
Je suis malgré tout satisfait de ma moyenne avec 35.55 km/h pour 1550 m de dénivelée.
A bientôt, Sébastien Grésant
(PS du Webmaster : en plus de Sébastien, Gaby, Thierry Genève et Jean-Claude Coudert étaient de la partie avec de beaux résultats chacun. Sur la photo on aura évidemment reconnu notre barbu de Gabynou national qui a l’air de s’éclater !)

 Photos Le grand prix de Chambéry Pass cyclisme est l’épreuve d’ouverture de la saison.
Cette année avec Geneviève et Gaby nous nous rendons au départ de cette épreuve pour encourager notre triple champion régional Jérôme Giraud qui affectionne particulièrement cette course car l’année dernière il y avait remporté une splendide victoire. Cette fois pour Jérôme il s’agit plutôt de tester son degré de préparation et son état de forme car sa préparation hivernale a été perturbée par une méchante bronchite qui a perduré bien longtemps.
A 9h15 est donné le départ de 120 coureurs venus de tout Rhône Alpes pour affronter ce circuit et son éprouvante côte. Dès le premier tour 2 hommes s’échappent. Nous regardons passer les coureurs en pleine ascension et observons Jérôme qui est parfois en milieu de peloton et parfois il passe le sommet de la côte dans les toutes premières positions, la course va se poursuivre jusqu’à l’arrivée sur ces positions qui vont rester inchangées car la victoire va se jouer entre les deux échappés qui n’ont jamais été rattrapés et ensuite un homme seul juste à quelques secondes prendra la troisième place.
Jérôme va terminer sa course bien placé dans le peloton, il était rassuré et satisfait, il sait qu’il est sur la bonne voie et nous ne pouvons que lui dire un grand Bravo d’avoir représenté notre club !  Michel MOTTIER

Photos Christophe  Photos David
Et voilà, Platja c’est fini et le train-train quotidien reprend déjà le dessus … Alors en 2016, les routes espagnoles sont toujours aussi belles – en particulier la corniche vers Tossa del Mar, l’hôtel Aromar en bord de mer et son personnel toujours aussi agréable et serviable (ah, Simona …), l’ambiance de notre groupe alpin – Benoît, Gaby, Jean-Jacques, Christophe, David et votre humble serviteur – toujours aussi décontractée et sympa, notre niveau d’espagnol toujours aussi élevé, les conducteurs catalans toujours aussi respectueux et les goélands bien entendu toujours aussi aériens et bavards … Bon en ce moment il semblerait qu’ils se grattent un peu !

Seules légères ombres au tableau, des températures ressenties un peu plus fraiches qu’à l’accoutumée et l’absence notable de la fontaine de chocolat (certainement décision de la Directrice quand elle a su que Gaby était de retour ?). Et avec la hausse du cours de l’or brun Bon, compte-tenu de la prise de poids de certains d’entre nous ce n’était finalement pas plus mal. Et si on venait accompagnés d’un diététicien(ne) la prochaine fois ? Plus quelques masseuses pendant qu’on y est ? Comment, on ne nous laisserait plus partir ? Ah bon !

Et les copains toujours aussi costauds, moi qui caressais l’espoir d’avoir progressé – ne serait-ce qu’un tout petit peu. ! D’accord les nombreux PR (records personnels) involontairement battus sur Strava (le Facebook du cycliste) le long des 650 km parcourus – près de 800km pour David ! – attestent que le niveau 2016 était quand même plutôt relevé. J’en n’étais pas moins satisfait d’avoir cette fois ci pu gérer mon effort plutôt honorablement. Comme la totalité d’entre nous d’ailleurs.

Et le retour toujours aussi dur !!!

Merci encore à toute l’équipe pour cette belle semaine et au club et à Michel pour l’aide financière et logistique. A très bientôt, Stéphane S.